Organisation Déclarante: | Cabinet du Secrétaire général (OSG) |
---|---|
Budget Total ($CAD): | $ 3,000,000 |
Délai d’exécution: | décembre 23, 2015 - décembre 31, 2019 |
Statut: | Actif |
Coordonnées: | Non précisé |
Cabinet du Secrétaire général (OSG)
Non précisé
Afrique subsaharienne - $ 1,059,000.00 (35.30%) | |
|
|
Asie du sud-est - $ 390,000.00 (13.00%) | |
|
|
Asie du sud - $ 330,000.00 (11.00%) | |
|
|
Asie de l'est - $ 300,000.00 (10.00%) | |
|
|
Europe - $ 300,000.00 (10.00%) | |
|
|
Amérique du sud - $ 210,000.00 (7.00%) | |
|
|
Asie centrale - $ 180,000.00 (6.00%) | |
|
|
Afrique du nord - $ 141,000.00 (4.70%) | |
|
|
Amérique centrale - $ 90,000.00 (3.00%) | |
|
Droits de la personne, plaidoyer & mobilisation du public (60 %) | |
|
|
Égalité des genres (40 %) | |
|
Cette subvention constitue l’appui institutionnel du Canada au Bureau de la Représentante spéciale du Secrétaire général chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit (RSSG-VSC). Le Bureau utilise ces fonds, ainsi que ceux octroyés par d’autres donateurs, pour mener à bien son mandat. La Représentante spéciale du Secrétaire général est la porte-parole et la défenseure politique des Nations Unies en matière de violence sexuelle liée aux conflits. Elle s’emploie à mobiliser la volonté politique et à la transformer en mesures concrètes pour éliminer et prévenir la violence sexuelle liée aux conflits au niveau des pays. Voici les six priorités de la RSSG-VSC : 1) mettre fin à l’impunité relative à la violence sexuelle commise dans les conflits en aidant les autorités nationales à renforcer la responsabilité pénale, à mieux s’adapter aux besoins des victimes et à améliorer leur capacité juridique; 2) protéger et autonomiser les civils qui doivent faire face à la violence sexuelle lors de conflits, en particulier les femmes et les filles qui sont ciblées de façon disproportionnelle; 3) mobiliser la volonté politique en encourageant les gouvernements à élaborer et à mettre en œuvre des stratégies de lutte contre la violence sexuelle; 4) accroître la reconnaissance du fait que le viol est utilisé comme tactique de guerre et qu’il en est l’une des conséquences, grâce à des activités de sensibilisation aux niveaux international et national; 5) harmoniser la réponse des Nations Unies en dirigeant la Campagne des Nations Unies contre la violence sexuelle en temps de conflit, un réseau regroupant des centres de liaison de 13 organismes onusiens qui font valoir les programmes de lutte contre ce type de violence et plaident pour l’éliminer dans le cadre du programme élargi des Nations Unies; 6) privilégier une plus grande prise en charge par les pays.
Genre et âge: | Non précisé |
---|---|
Population Ciblée Directement: | Non précisé |
Non précisé
Haut de la pageLes résultats escomptés énumérés par la Représentante spéciale du Secrétaire général chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit comprennent : 1) capacité accrue des autorités nationales à renforcer la responsabilité pénale, à mieux s’adapter aux besoins des victimes et à améliorer leur capacité juridique; 2) volonté politique accrue des gouvernements nationaux d’éliminer la violence sexuelle dans les conflits; 3) reconnaissance accrue du fait que le viol est utilisé comme tactique de guerre; 4) réponse des Nations Unies mieux coordonnée et plus efficace pour protéger et autonomiser les civils qui doivent faire face à la violence sexuelle lors de conflits, en particulier les femmes et les filles.
Non précisé