Organisation Déclarante: | ONU Femmes |
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Budget Total ($CAD): | $ 3,000,000 |
Délai d’exécution: | mars 18, 2010 - novembre 29, 2013 |
Statut: | Fermé |
Coordonnées: | Non précisé |
Non précisé
Ouganda - $ 600,000.00 (20.00%) | |
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Zimbabwe - $ 600,000.00 (20.00%) | |
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Kenya - $ 450,000.00 (15.00%) | |
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Ghana - $ 300,000.00 (10.00%) | |
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Rwanda - $ 300,000.00 (10.00%) | |
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Tanzanie - $ 300,000.00 (10.00%) | |
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Cameroun - $ 150,000.00 (5.00%) | |
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Malawi - $ 150,000.00 (5.00%) | |
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Nigéria - $ 150,000.00 (5.00%) | |
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VIH (12 %) | |
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Droit, gouvernance & politique publique (48 %) | |
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Égalité des genres (40 %) | |
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Le but du projet est d’améliorer l’accès des femmes aux services juridiqueset aux droits à la propriété et à l’héritage afin de réduire leur vulnérabilité au VIH/sida. Précisément, il vise l’intégration des droits des femmes dans les politiques, les mesures et les programmes clés de lutte contre le VIH/sida à l’échelle locale et nationale dans le cadre de l’intervention menée par les réseaux et les partenaires de la société civile de l’UNIFEM. Les activités peuvent comprendre :1) le remaniement et application des cadres juridiques existants; 2) un meilleur accès des femmes aux services de soutien juridique et à l’aide juridique; 3) le suivi de l’expérience des femmes confrontées à la dépossession, à l’insécurité économique et à la discrimination pour ce qui est d’accéder à la propriété et à l’héritage, et collecte d’information en la matière.
Genre et âge: | Non précisé |
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Population Ciblée Directement: | Non précisé |
Non précisé
Haut de la pageLes résultats intermédiaires escomptés de ce projet comprennent : la connaissance, la mise en œuvre et le développement de stratégies et de programmes de lutte contre le VIH/sida fondés sur des données probantes ont progressé; le dialogue multilatéral est amélioré; l’accessibilité et la diversité de la conférence sont améliorées; la capacité des titulaires de bourses à contribuer à la lutte mondiale contre le VIH et à se faire les champions des interventions efficaces de lutte contre le VIH/sida fondées sur des données probantes, à en élaborer et à en mettre en œuvre est élargie.
Parmi les résultats obtenus jusqu’en mai 2012 : environ 1 270 affaires de propriétés et d’héritage ont été signalées aux techniciens juridiques ou aux responsables des règlements des différends, ou traitées par ces derniers, grâce à la disponibilité et l’accessibilité accrues des services juridiques destinés aux femmes vivant avec le VIH. En Tanzanie, plus de 400 terrains ont été attribués à des femmes dans six villages. Au Zimbabwe, 312 femmes vivant avec le VIH ont reçu des terrains. Au Kenya, au moyen de campagnes d’inscription locales, plus de 470 femmes et 5 100 enfants à risque d’exhérédation se sont inscrits et ont obtenu ainsi les documents juridiques requis (comme les actes de naissance, les actes de décès et les cartes d’identité) afin d’assurer et d’exercer leurs droits de propriété. Plus de 3 700 détenteurs d’obligations à l’échelle nationale et locale et plus de 29 000 membres de la communauté ont approfondi leurs connaissances et acquis une plus grande sensibilisation sur la nécessité de protéger la propriété et les droits successoraux des femmes touchées par le VIH/sida. Plus de 16 200 femmes qui vivent avec le VIH/sida ou qui sont directement touchées par le fléau ont amélioré leur connaissance des lois et de leurs droits grâce à la sensibilisation au sein de la collectivité, à la diffusion d’information et à des programmes radio à ce sujet. En outre, 900 prestataires de services juridiques et de justice communautaire actuels et nouveaux, y compris des juges et agents d’application de la loi traditionnels, ont approfondi leurs connaissances et leurs compétences pour aider les femmes vivant avec le VIH/sida à faire valoir leurs droits successoraux.