Organisation Déclarante: | World Renew |
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Budget Total ($CAD): | $ 1,678,057 |
Délai d’exécution: | janvier 23, 2013 - avril 30, 2017 |
Statut: | Fermé |
Coordonnées: | Non précisé |
Nigéria - $ 839,028.50 (50.00%) | |
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Sénégal - $ 839,028.50 (50.00%) | |
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Promotion de la santé & éducation (70 %) | |
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Éducation (30 %) | |
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Le projet soutient des adolescents, en particulier des filles de 13 à 18 ans, dans 71 communautés au Nigéria et au Sénégal, où les adolescents sont exposés à de très hauts niveaux de risques pour leur santé. Le projet est conçu pour renforcer les comportements qui réduisent les risques de transmission du VIH/SIDA, de maladies transmises sexuellement et qui réduisent les risques de grossesses précoces ou non-souhaitées parmi les adolescents. Il vise également à améliorer la protection des adolescents, spécialement les filles, contre la violence et l’abus sexuel, et à améliorer le niveau d’alphabétisation et les compétences professionnelles parmi les participants adolescents. World Renew travaille en partenariat avec l’Église Évangélique Luthérienne du Sénégal (EELS) et le Comité Evangélique de Coordination pour la Santé (CECS) au Sénégal, et l’initiative Beacon of Hope Initiative (BHI) au Nigéria.
Genre et âge: | Non précisé |
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Population Ciblée Directement: | Non précisé |
Non précisé
Haut de la pageLes résultats intermédiaires escomptés de ce projet comprennent : i) l’augmentation de comportements sains qui réduisent les risques de transmission du VIH/SIDA et des maladies transmises sexuellement (MTS) et qui réduisent les risques de grossesses précoces ou non-souhaitées parmi les adolescents; ii) la protection accruedes enfants et des jeunes contre la violence et l’abus sexuel; iii) l’augmentation de l’engagement des participants du programme dans des activités génératrices de revenus.
Parmi les résultats obtenus jusqu’en mars 2016 : au Nigéria, les employés d’un partenaire local ont recruté 620 pairs éducateurs (412 femmes et 208 hommes) et leur ont donné une formation en vue d’accroître les comportements sains chez les jeunes qui permettront de réduire les risques de VIH ou d’infections transmissibles sexuellement. De plus, 620 groupes pour la santé des adolescents (412 groupes pour les filles et 208, pour les garçons) comptant 7 094 participants (5 050 filles et 2 044 garçons) ont été formés. La fréquentation de ces groupes et la participation aux discussions sur les droits liés à la santé génésique sont élevées.
En outre, on a établi 130 groupes d’action jeunesse et nommé des dirigeants, et ces groupes se réunissent régulièrement. Ces groupes ont mené 32 activités de sensibilisation, sous forme de dramatiques et de rassemblements dans les rues. Trente visites de défense des intérêts ont été faites à des leaders religieux, à des autorités scolaires ainsi qu’à des dirigeants communautaires et traditionnels au sujet de questions telles que le VIH et la promotion de la santé et des droits des adolescents. Il y a également 160 groupes de parents qui ont été mis sur pied, lesquels ont engagé 390 dialogues. De plus, 80 jeunes qui ne fréquentent plus l’école (56 filles et 24 garçons) ont reçu un soutien financier de membres de la collectivité ou bien des subventions d’équipement pour démarrer des microentreprises telles que des salons de coiffure, des kiosques et des ateliers de confection sur mesure. Quelque 600 autres jeunes qui ne fréquentent plus l’école (420 filles et 180 garçons) ont reçu une formation professionnelle et un cours sur l’autonomisation économique.
Au Sénégal, 53 pairs éducateurs (42 femmes et 11 hommes) ont été recrutés et ont reçu une formation pour animer les groupes sur la santé des adolescents. De plus, 85 groupes sur la santé des adolescents comptant 1 918 participants (1 734 filles et 184 garçons) ont été mis sur pied pour accroître les connaissances des jeunes en matière de santé génésique, modifier l’attitude et les croyances et améliorer les comportements sains. Vingt-quatre conseils de quartier ou comités locaux (groupes de parents) et 22 groupes d’action jeunesse ont été créés. Les groupes d’action jeunesse, composés d’anciens participants au projet, ont organisé des pièces de théâtre dans la rue et pris d’autres mesures dans la collectivité pour sensibiliser davantage les personnes aux questions liées aux droits en matière de santé des adolescents. Des parents et des membres de la collectivité ont participé à 145 discussions sur les agressions sexuelles et la violence. On a aussi donné une formation sur l’alphabétisation et la numératie à 1 535 jeunes filles qui ne fréquentent plus l’école en vue de leur permettre de reprendre leurs études.