Organisation Déclarante: | Aga Khan Foundation Canada |
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Budget Total ($CAD): | $ 21,935,000 |
Délai d’exécution: | octobre 2, 2018 - février 1, 2024 |
Statut: | Actif |
Coordonnées: | Non précisé |
Mozambique - $ 21,935,000.00 (100.00%) | |
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Santé & droits sexuels (40 %) | |
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Santé & droits reproductifs, y compris la santé maternelle (30 %) | |
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Santé des adolescents (30 %) | |
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Le projet vise à améliorer l’accès à des services de santé sexuelle et reproductive et aux droits qui s‘y rattachent (SSRD) pour certaines des femmes et adolescentes les plus vulnérables de six districts de la province de Cabo Delgado, au Mozambique. Le projet traite des obstacles en matière de SSRD auxquels font face les femmes et les filles en misant sur trois volets interreliés et complémentaires : améliorer l’offre de services de manière à ce que des services de santé sexuelle et reproductive (SSR) de qualité soient disponibles et assurés efficacement; accroître la demande et l’utilisation des services de SSR, ce qui nécessite un milieu dans lequel les partenaires, les familles et les communautés comprennent l’importance de la SSRD et valorisent le pouvoir de décision des femmes et des filles; et améliorer l’utilisation de l’information et des données probantes en matière de SSRDC par les principaux intervenants. Les activités du projet comprennent : 1) le renforcement des capacités des principaux intervenants du milieu de la santé à l’échelle des districts; 2) la réduction des lacunes au chapitre des infrastructures, des équipements et des services (p. ex. sur le plan des mécanismes pour assurer la confidentialité); 3) le renforcement des systèmes d’aiguillage, y compris pour les cas complexes après un avortement; 4) la mobilisation des hommes, des garçons et des partenaires pour favoriser le changement, la sensibilisation des dirigeants des communautés et la mobilisation des comités de santé communautaires; 5) l’offre de services de planification familiale par l’intermédiaire des intervenants en santé communautaire, et; 6) la réalisation et la diffusion de recherches sexospécifiques sur la SSRD et appuyer la capacité du gouvernement à collecter, à analyser et à utiliser efficacement les données en matière de SSR. Le projet contribue à améliorer l’accès à des services en matière de SSRD pour 431 500 bénéficiaires, notamment 242 000 femmes et filles et 189 500 hommes et garçons.
Genre et âge: | Adultes, femmes Adultes, hommes Adolescentes Adolescents Enfants, filles Enfants, garçons |
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Description: | Zone rurale |
Population Ciblée Directement: | 482,293 |
Population Ciblée Indirectement: | 9,664 |
11 | |
14 | |
1,968 | |
25 | |
26 | |
44 | |
547 | |
624 | |
75 | |
8 |
Les résultats escomptés comprennent: 1) l’amélioration de la prestation de services complets en matière de SSR offerts aux femmes, aux filles et à leurs familles (les services sont adaptés aux sexes et aux adolescentes et aux questions environnementales); 2) la réduction des obstacles sociaux et sexospécifiques à l’utilisation et à l’adoption de pratiques et de services complets en matière de SSR par les femmes et les adolescentes, et; 3) l’amélioration de l’utilisation et de la gestion par les intervenants des informations et des données en matière de SSRD sexospécifiques et adaptées aux adolescentes.
SPARC entame sa quatrième année en 2022. Plus de 800 travailleur·euses de la santé communautaire ont reçu une formation sur la planification familiale fondée sur la communauté et la réduction des grossesses. De façon similaire, 100 adolescent·es ont reçu une formation sur l’éducation entre les pairs. 200 centres de la santé communautaire et 15 comités de mobilisation communautaire ont été soutenus pour améliorer la gouvernance participative et la responsabilité communautaire, et aborder des enjeux clés de SDSR et d’égalité des genres. Plus de 100 cliniques de santé mobile ont été tenues pour offrir des services de santé sexuelle et reproductive. Le projet continue d’offrir un soutien financier à l’école de soins infirmiers de Pemba, permettant à 21 infirmier·ères spécialisé·es en santé des mères, des nouveau-nés et des enfants (SMNE) de poursuivre leurs études et leur formation. De plus, 40 infirmier·ères, 4 médecins, 4 psychologues, 4 membres du personnel policier et 4 membres du personnel juridique ont été formé·es en prévention et en réponse à la violence sexuelle fondée sur le genre.