Organisation Déclarante: | UNU-INWEH - Université des Nations Unies - Institut pour l'eau, l'environnement et la santé |
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Budget Total ($CAD): | $ 2,000,000 |
Délai d’exécution: | octobre 11, 2012 - mars 31, 2014 |
Statut: | Fermé |
Coordonnées: | Non précisé |
UNU-INWEH - Université des Nations Unies - Institut pour l'eau, l'environnement et la santé
Non précisé
Afrique subsaharienne - $ 882,000.00 (44.10%) | |
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Amérique du sud - $ 210,000.00 (10.50%) | |
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Asie du sud-est - $ 200,000.00 (10.00%) | |
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Asie du sud - $ 162,000.00 (8.10%) | |
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Asie de l'est - $ 146,000.00 (7.30%) | |
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Afrique du nord - $ 118,000.00 (5.90%) | |
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Europe - $ 100,000.00 (5.00%) | |
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Amérique centrale - $ 92,000.00 (4.60%) | |
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Asie centrale - $ 90,000.00 (4.50%) | |
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Eau, assainissement & hygiène (EAH) (100 %) | |
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Cette subvention constitue l’appui institutionnel du Canada à l’Institut universitaire des Nations Unies pour l’eau, l’environnement et la santé (UNU-INWEH). L’UNU-INWEH utilise ces fonds, ainsi que ceux d’autres donateurs, pour la réalisation de son mandat. Le mandat de l’UNU-INWEH est de contribuer, à travers le développement des capacités et la recherche dirigée, aux efforts visant à résoudre les problèmes urgents mondiaux concernant l’eau qui préoccupent les Nations Unies, ses états membres et leurs peuples. L’UNU-INWEH agit comme le centre d’études et de recherches de l’ONU sur l’eau. Il répond directement aux enjeux mondiaux concernant l’eau et soutient les efforts pour atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement. L’appui du Canada à l’UNU-INWEH contribue à trouver des solutions durables aux problèmes mondiaux concernant l’eau, avec des impacts positifs sur la santé, la sécurité alimentaire et la nutrition.
Genre et âge: | Non précisé |
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Population Ciblée Directement: | Non précisé |
Non précisé
Haut de la pageParmi les résultats intermédiaires escomptés, notons : (1) des stratégies d’adaptation institutionnalisées axées sur les écosystèmes côtiers des eaux tropicales, particulièrement les mangroves et les récifs coralliens; (2) une meilleure gestion des ressources terrestres et une utilisation durable de l’eau et des ressources de la biodiversité dans les pays en développement; (3) une éducation de pointe, une capacité accrue et une meilleure gestion de l’information, menant à une mise en œuvre améliorée de la Gestion intégrée des ressources en eau; (4) une amélioration du bien être humain grâce à des écosystèmes durables et sains.
Parmi les résultats obtenus jusqu’en décembre 2013, notons : (1) la préparation d’une analyse indépendante fondée sur des preuves sur la façon de s’attaquer à la question de l’eau dans un programme de développement après 2015; (2) la création d’un système de gestion des eaux de crue permettant d’alimenter naturellement les aquifères en Iran; (3) le développement d’un plan communautaire de gestion du broutage en collaboration avec les communautés locales dans la réserve de la biosphère de Dana, en Jordanie; (4) le renforcement de la capacité des professionnels et des institutions dans les pays en développement de l’Asie du Sud-Est et de l’Afrique de l’est à entreprendre des activités de surveillance, de recherche et de conservation des écosystèmes côtiers essentiels dans les mangroves; (5) l’amélioration des efforts d’adaptation aux changements climatiques déployés par la Jamaïque et l’amélioration de la capacité de résilience aux incidences connexes grâce à une meilleure gestion et protection des écosystèmes côtiers et à la remise en état des zones côtières dégradées; (6) l’analyse des aspects économiques mondiaux liés à la gestion durable des terres afin de soutenir la neutralisation de la dévastation et de la désertification des terres; (7) des séminaires, ateliers et activités organisés au Canada et à l’étranger visant à mobiliser les communautés de développement et promouvoir les résultats de recherche sur la sécurité alimentaire, l’intégration des sciences et des politiques, l’eau et la santé maternelle ainsi que la gestion des écosystèmes côtiers. Ces résultats ont contribué à mettre sur pied des stratégies d’adaptation institutionnalisées axées sur les écosystèmes côtiers des eaux tropicales, particulièrement les mangroves et les récifs coralliens, à une meilleure gestion des ressources terrestres et à l’utilisation durable de l’eau et des ressources de la biodiversité dans les pays en développement, à une éducation de pointe, une capacité accrue et une meilleure gestion de l’information, ainsi qu’à une amélioration du bien être humain grâce à des écosystèmes durables et sains.